On le sait, les études internationales l’attestent, les petits Français rencontrent de plus en plus de difficultés dans leurs apprentissages à l’école. «La France est, parmi les pays développés, celui dont les élèves en difficulté sont les plus nombreux. Comment compenser ces inégalités dans l’accès au savoir ? ».
Le Centre d’analyse stratégique – une institution dépendant du Premier ministre , pose la question dans une série de notes publiées mercredi. L’une d’entre elles porte sur l’épineuse thématique du soutien scolaire, et en particulier des cours de maths, qu’il soit public, associatif ou privé. Un million d’élèves prennent aujourd’hui des cours de soutien privé, ce qui représente environ 40 millions d’heures de cours chaque année.
Les Français champions d’Europe
La Métropole se révèle être le premier marché du soutien scolaire privé au sein de l’Union européenne avec « un volume d’affaires relatives au 1, 5 milliard d’euros » en 2011. Au Royaume-Uni, sur la Allemagne et dans les pays du nord de l’Europe, le soutien scolaire reste marginal. Pour deux raisons, explique le rapport. Dans les pays, la concurrence pour obtenir un ensemble de diplômes élevés est moins rude qu’en France et donc le recours à de nombreuses cours privés moins impérieux. Ensuite, au sein des pays anglo-saxons (c’est aussi vrai afin de les Etats-Unis), il y a «un enseignement public largement dépourvu de dispositifs de soutien & un enseignement privé payant mais aussi davantage individualisé».
A l’opposé, sous Europe de l’Est comme dans les états d’Asie du Sud-Est, le soutien scolaire privé se trouve être très développé, à cause notamment de «la forte pression sur la réussite scolaire et professionnelle» mise sur ces élèves. «La France, grace à à la fois des pièces du soutiens publics, associatifs & marchands, se situe entre ces 2 modèles», insiste Marie-Cécile Naves, l’auteure relatives au l’étude.
1 500 euros par famille, en moyenne
En grande majorité, les parents emploient directement des personnes à domicile de sorte à aider à elles enfants. Avec cinq millions d’heures déclarées, les organismes des personnes individuelles de soutien scolaire (type Acadomia) représentent 12, 5% du marché, selon une étude de l’institut Xerfi citée par le rapport. Si l’on s’en tient dans un tarif horaire moyen de 36, 50euros, ce chiffre d’affaires de certains organismes représente 75 milliards d’euros par an.
Les élèves qui ont recours chez des organismes privés prennent en moyenne la heure à une plombe mais aussi demie par semaine (40 heures de montant des personnes individuelles via an environ), ce qui représente 1 500 euros à travers groupe social chaque année, avant déduction fiscale. La loi Borloo de 2005 permet aux particuliers de déduire du l’impôt en ce qui concerne un revenu 50% un ensemble de sommes dépensées pour des services à domicile, comme le secours scolaire. Cette mesure était censée réduire le travail au noir dans ce secteur, mais en pratique, en fonction le rapport le buisness reste encore largement dominé par le service non déclaré.
Une question relatives au confiance plus que d’argent
Ce ne sont pas forcément les mauvais élèves lequel prennent des cours privés. Ce sont surtout de nombreuses collégiens (10%) et des lycéens de niveau système, voulant intégrer une filière particulière ou qui sont dans une stratégie d’excellence scolaire, tel que intégrer une prépa par exemple.
L’origine sociale un ensemble de parents est évidemment le facteur déterminant. Dans la majorité des montant privés, on compte une paire de fois plus d’enfants d’artisans, de commerçants, de cadres ou ceux dont les parents exercent une profession libérale que d’enfants du profs ou d’agriculteurs. Plus de 13% contre 5% et 6%.
Plusieurs éléments d’explication. Les père laquelle ont des longues journées de travail (et en conséquence qui sont absents du domicile) payent mieux relatives au cours des personnes individuelles que ces autres. Autre raison, une défiance envers «la capacité du système scolaire dans faire réussir à eux enfants». «L’évolution est particulièrement notable depuis les années 1980 parmi les classes moyennes qui laissent moins de pouvoir à l’institution scolaire», note l’auteure de l’étude. Qui ajoute: «Ce n’est point le cas en revanche pour les classes populaires lequel font, toutes proportions gardées, bien plus affection – procédé éducatif français. Leurs proches ont minimum référé chez du allié privé mais plus au téléphone mécanisme d’aide associatif. Cela n’est pas plus longtemps qu’une cause financière, contrairement à ce qu’on pourrait croire. C’est étroitement lié à cette dimension de confiance en l’école publique», insiste Marie-Cécile Naves.
Deux pistes afin de élément meilleur service général
Pour mettre un peu à vocation plus d’égalité dans le système et favoriser ce soutien scolaire public, un Centre d’analyse stratégique formule deux propositions. L’une, déjà dans les tuyaux: développer la aide aux devoirs sur la ligne. Le ministre du l’Education, Vincent Peillon, a dorénavant annoncé qu’à cette rentrée prochaine plus de 30 000 élèves de sixième scolarisés en éducation prioritaire se verront proposer «une offre numérique sous-traiter scolaire».
Distinct piste évoquée: «mobiliser le service civique». Cela saurait passer, propose les relations, par «une convention-cadre parmi ce ministère de l’Éducation nationale et l’Agence du service civique pour encourager la majorité des missions de volontaires de service patriotique dans l’accompagnement scolaire, sous ciblant les associations, particulièrement en zone rurale, et les élèves en classe de seconde. »
Et la qualité dans tout ça ?
Une rapporteure pose une thématique de fond, celle de la qualité de la prestation rendu via les cours particuliers: « Bien que l’amélioration des résultats soit difficilement mesurable étant donné que l’aide parentale n’est jamais complètement absente, les leçons individuels semblent avoir un effet au sein de la confiance en soi ».
En conclusion :
« Si les entreprises de soutien scolaire ne se présentent pas tel un concurrent du procédé scolaire public, elles-mêmes pointent ses insuffisances ou ses travers (réels ou bien imaginaires) tout en en bénéficiant. »